Le Macchu Picchu ça se mérite
Tout d'abord se lever de bonne heure,un quart d'heure de route jusqu'à Ollaytaytambo, histoire de prendre le train de Perourail.
Une heure et demi de voyage dans un train à voie métrique qui a plutôt tendance à tanguer.
Mais agréable trajet dans les gorges de l'Urubamba dont les eaux ont la couleur café au lait avant d'arriver à la gare du Macchu Picchu entourée comme de bien entendu par des boutiques de souvenirs.
Puis prendre la navette autobus qui monte au site par une route de type Alpe d'Huez,assez vertigineuse. Et enfin, faire un petit bout de grimpette pour surplomber le site.
Végétation un peu dépaysante car on est proche de la forêt amazonienne.
Il est faux de dire que le site a été decouvert au début des années 1900,car on a la preuve de sa connaissance au milieu du 16°siecle et ensuite on en reparle dans le milieu du 19°siecle.
On pense qu'il s'agissait essentiellement d'un site dédié à des cérémonies religieuses.
Ce qu'il y a de bien c'est que le nombre de visiteurs est limité à 2500 par jour
Par contre ce qui est pénible c'est qu'il faut sans arrêt présenter son passeport car tous les billets sont nominatifs.On se croirait dans l'ex RDA.
Après s'être remplis les yeux, retour en train et arrivée à la nuit à Cuzco
Le lendemain sera un jour plus calme pour récupérer.
